Etape d'Aix-en-Provence

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Nous nous rendions au centre social des amandiers dans le quartier de Jas de Bouffan le 8 novembre 2022, avec notamment la présidente de la Maison des Potes d’Aix-en-Provence et de la Maison Citoyenne aixoise, Louisa Zidane, et de nombreux membres de ces structures dont une interlocutrice privilégiée de la Maison des Potes, Messaouda Echinard.

 

Les habitants du quartier nous racontaient leur difficulté puisqu’après plusieurs années à être géré par des personnes non membres du quartier. Les habitants avaient repris cette gestion. Il dénonce le fait qu’ils aient perdu leur agrément et ont perdu devant la cour administrative d’appel au sujet de leur expulsion des locaux.

 

L’ancien président du centre social qui dirigeait l’association avec deux autres personnes a rédigé une lettre pour dénigrer ceux qui lui ont succéder notamment sur leur capacité de gestion pour gérer ce centre et notamment les accuse de communautarisme. Cette qualification de communautarisme n’aurait pas de fondement autre que leurs origines. Un homme aurait entendu cette personne parlé du fait que maintenant « c’est le grand remplacement ».

 

L’association ADIS ne comprend pas les décisions de la CAF et de la mairie et semblent désespérer face à cette situation. Ils avaient un rendez-vous le lendemain à la préfecture, lequel s’est très mal passé et a même refuser d’écouter les revendications de l’association. On doit demander à Maitre Lhote de les assister dans leurs remarques.

 

Une salariée du centre social explique également par ailleurs qu’on lui a dit qu’elle ne sera peut-être pas reprise par le nouveau centre social, en contradiction avec le droit du travail. On s’engage à contacter une avocate en droit du travail afin de voir avec elle si elle peut aider cette personne. Un journaliste spécialisée dans les faits de corruption enquête sur cette affaire afin de déterminer qui est la personne qui a pris cette décision sur la base d’accusation infondée.

 

On s’engage à rédiger une plainte pour discrimination et d’incitation à la discrimination estimant que cet acharnement n’est dû qu’à l’origine des personnes concernées.

 

Rédiger une discrimination pour une activité économique. Si on juge les gens sur leur origine ou leur appartenance politique. Le but est de faire suspendre les moyens de fonctionnement : perte de l’agrément donc perte de subventions, et intervention auprès des autorités départementales et municipales.

 

- Les premiers auteurs de l’infraction = auteur de la lettre = incitation à la discrimination

- Les seconds auteurs = discrimination = CAF

- Ceux qui ont enlevé les subventions = la mairie

 

Cette rencontre a fait l'objet d'un  article dans le journal La Provence, ci-dessous :

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