Les immigrés ne doivent pas être la variable d'ajustement de la flexibilité

Les immigrés ne doivent pas être la variable d'ajustement de la flexibilité

COMMUNIQUE DE PRESSE DES MAISONS DES POTES

 

Les immigrés ne doivent pas être la variable d'ajustement de la flexibilité



Les Maisons des potes participeront à la manifestation du 9 avril contre l'A.N.I aux côtés de la CGT et de F.O pour dénoncer la flexibilité qui meurtri les habitant(E)s des quartiers populaires. (A Paris c'est à 14H à Montparnasse).

Pour les travailleurs immigrés non européens, la flexibilité c'est 3 fois plus de contrats précaires, de temps partiel subit, c'est 3 fois plus de chômage que pour les Européens, ce sont des rémunérations inférieures de 25% et jusqu'à 50% pour les travailleurs sans papiers.

Mais le patronat privé n'est pas le seul coupable de cette exploitation. Pour ceux qui l'ignoreraient, l’État (à cause de la théorie des emplois fermés) fait subir aux travailleurs étrangers non européens la flexibilité, les emplois précaires sous payés dans l’Éducation Nationale, les Hôpitaux, la SNCF, EDF et les collectivités locales ne sont pas en reste.